Bon.. bah je sais pas ou je devrais poster ... c'est pas un poèmes.. c'est un récits.. qui devras d'ailleurs être terminer :p mais voici donc les débuts....
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Présence de l’inabsolue, perversité des siècles passer. Âme corrompu ou ressort de l’humanité… Voici que défile maintenant l’un à un les vices et les torts de chacuns, alors que sous le joug de ma main ils n’ont plus que peur et regrets… Pourquoi.. pourquoi toujours réaliser a ce dernier moment combien la vie est futiles et Ô combien, elle est fragile.. Les cous tordu, colonnes brisées, crâne fracassé contre les murs.. Pourquoi est ce toujours en dernier ressort que vienne la pitier et la panique qui sème le désaroie d’une mort rapprocher….
Lorsque la vie s’empare d’un être, que se soit de l’humanité inexistante ou encore de l’âme de ce dernier.. pourquoi en craint il toujours plus, alors que plus rien ne saurais avoir d’importance…
*C’est en rejetant par dédains le corps mutilé d’un richard des bons quartier que l’ombre repartis au profond de ses pensées.. Ce corps contenant encore une parcelle de vie résistait de ses plus grande forces.. essayant de peine et de misère de rejeter une mort prédestiner……*
Il va de sois bien sur homme de loi que tu ne comprend pas.. toi qui par luxure tue, toi qui par dédains du déshoneur ruine les vies…. Mais qui donc, pourrais te permettre d’avoir des remords.. si ce n’est que mon visage en cet heure de mort….. Bien sur, l’argent t’a secourru dans tout les événement de ta misérable vie.. mais crois tu seulement qu’il en seras d’utilité avec moi, maintenant ???… pourtant tu daigne le mentionner, sale porc, créature écerveller. Ne vois tu pas que la seule chose qui garderas mon esprit tranquille seras de te voir étendu, éloigner de toute trace de vie, alors que tout et chacun festoirons ta mort ??? … non bien sur.. pensée n’a jamais été une de tes charactéristique, « humain » ….
*Une lueur se faufila parmis les ombres. Reflet d’une lame aiguisé qui rendais hommage à la lune en cet heure de festivité. Les pas de l’ombre martellais le sol alors que d’un geste vif elle souleva l’imposteur de terre, l’accrochant contre le mur, dague sous la gorge.*
Quoique tes lèvres ai la force de prononcer, rien n’auras dégale a ce que les miennes te soutirerons en ce moment…. Quoique tes yeux puisse voir.. rien, n’égaleras ce qu’ils pourront constater…
* De faible mouvement étais distinguable dans l’obscurité alors que sortirent des brumes femme et enfants de celui qui allais tout perdre. Les larmes n’égalisais aucunement les gémissements de craintes et les supplication qui aurais du, selon eux, retenir la lames… *
Mais…. Oui.. bien sur père.. Vous ne comprendrez donc jamais....
* Un filament arborant les couleurs du rubis coula, lentement de ce qu’on osait nommer père. Plus un cris, plus un regret…. Simplement la douleur mortelle d’une lame qui passais de l’un à l’autre multipliants le dédaint et la rage…. Un seul son a su brimer le moment.. la gamine ou plutôt, la cadette… alors que le souffle de vie se séparais de cette envellope corporelle, elle laissa échapper une seule chose.. *
Hanah…. … … …
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*Bien des décénies s’écoulèrent sans que le doux parfum de la vie n’éfleurent à nouveau les abymes. Le temps passa menant derrière lui de triste dessein pour un monde déjà dans le déclin. Il traîna les bourgeois dans la boue, créant une déraison a la monarchie, abbatant de ce fait toute loi qui pouvais restreindre une fin de l’humanité..*
*Un voile se déposa sur la lune, reflètant les cratères, imperfection similaire a ceux de l’homme, rendant la dame blanche d’allure plus modeste. L’ombre augmenta pour n’en plus finir, puis vint le moment de l’obscurité total.. Celle ou pour seul atmosphère le silence et pour seul odeur, la charogne et les cadavres. *
Combien de temps déjà a su s’écouler alors que seulement l’image de mort circule en ces terres…. Bien trop, je le craint.. Et pourtant, ne devrais je pas me réjouir d’un si long mouvement de corruption … Les idées s’entrechoc alors qu’encore je fais preuve de moralité.. Comment concevoire que je puisse encore être plus humaine qu’eux..Eux qui pourtant hier encore me tenais dans leurs bras.. eux qui maintenant n’ont que crainte au fond de leurs regards… Sale race que sont les hommes.. et encore, j’en fais toujours partie.. Que sois damné cette partie de moi qui ne meurent pas… Que sois damné celui qui m’a laisser au sol alors que j’aurais du être récupéré… Que sois damné l’homme.. J’y veillerai …..
*Le paysage chancelais doucement, défilant tel un rêve au clair de lune. Une fine pluie vint ajouter à l’ambiance de la scène.. Âme en peine errant du profond de l’obscuritée.. Corps glacée et qui pourtant, continue toujours d’avancer….*
Toujours le même refrain.. les mêmes complaintes.. Le même deuils en vain.. Petite sotte, pourquoi n’a t’elle pas su se taire alors qu’il le fallais…. Hanah … oui.. c’est bien comme ca que l’on m’appelais il y a si longtemps.. Et encore, ces paroles me hante…Funeste dessein que d’être tourmenter par un être déjà évaporer.. alors que sois même, l’on ne peut échapper au destin cruelle que la vie nous dresse…
*Ses pas la guidèrent sans mal au abord d’une falaise constituer de pic abrut qui pour seul réponse fournirais une mort certaine.. à n’importe quel âme vivante.. mais pas la sienne… De l’abyme remontas une oréol rougeâtre, petit voile de fumée embrouillant la vue à tout objet a proximité.. De se voile raisonnais une voix qui revenais lentement :*
Hannah … … Il est maintenant l’heure de revenir parmis nous ..
Non… pas encore… je n’en ai pas terminer… Ca ne dois être que le commencement d’une longue torture.. cette citée tourneras à sa perte… J’en ai fais le serment…Je …….. Voilà que tout recommence… Tu n’es à nouveau qu’une bête illusion… pourquoi me créer sans cesse cette torture… pourquoi….
*Des profondeurs un simple petit ricanement fut son unique réponse … …Le ricanement d’ aviale… ..*
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*Le vents retien les odeurs amère de la chair, ainsi que les désaroie d’un monde abbatu.. Depuis si longtemps tout n’est que perte dans les profondeurs du temps… Mais quoi que l’on en dise, la terre n’oublie jamais les créatures qui ont foulé ses rivages. *
Temps révolu d’un monde sur lequel les plaies se sont abbatu, pour lequel les êtres de chair et de sang ont péris. Fin d’une ère qui exèle a l’étranglement d’un peuple, Périls enfoui d’une humanité évanouie… À quand la rédemption.. Les souvenirs voyagent et vogue comme un flot sans fin.. alors que profondément nous ne souhaitons qu’oublier ce qui jadis avais pus nous sembler important.. Tel des illusions, nous èront dans ce monde, prétendant exister alors qu’en fait, la vie nous à déjà quitter.. L’illusion.. quel hasard que ce mot vienne au moment présent embrouiller mes pensées.. Aviale.. eut-elle déjà exister ou n’étais ce que pur divagation d’un esprit malade…. Cet enfant qu’il m’a sembler voir grandir… Maintenant que j’y pense, si peut de gens lui portais attention.. Étais ce pur coincidence que ses attentions…… La voix de la raison ?? l’ignoblité d’un esprit saint ?? .. Non je ne crois pas.. Après tout, il es si compliquer de différencer les ombres des hommes en ce monde.. J’ai peine a comprendre comment je suis toujours ici, alors que la terre pourrais me reprendre de ses racines, illiminant l’impureté…
L’abysse toujours face à la mort, bien que l’un n’aille pas sans l’autre. Au fond de se précipice….. Pourquoi aurait elle réellement été la.. Non.. non.. tu sais bien.. ce n’est qu’une illusion.. mais pourquoi me poursuit elle.. Est ce parce que souffrir me complais… Est ce simplement de cette façon que je survie ici.. en m’illusionnant une mort rapproché ….
Non.. tu survie ici parce qu’ils nous amuse de te voir souffrir, tout comme tu l’a fait il y a de cela bien longtemps… Nous èrons aussi dans un monde qui comme le tien, ne retien que la souffrance.. Bien sur, il est comme le tien, puisqu’il s,agit de toi.. nous èrons en ton être.. et nous y resterons tant que tu tiendras debout…
Est ce toi qui parle….
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*Un large sourir ce déposa sur le visage d’Hanah. Deux canine proéminante, tâcheter de sang. Les idées qui tounoie, l’impression de pertitude au plus profond de son être.. Elle pris sa tête entre ses mains, fermant les yeux, fixant derrière ses paupières un objet sans nom. *
Si réelement tu étais la.. Si réelement tu me parlais.. il y a longtemps que je t’aurais étrangler pour ne faire qu’un festin de ton corps.. alors dit moi, soeurette.. Si tant t’amuse que d’èrer en ma présence…C’est bien parce que je t’y autorise.. Mais à l’avenir… Tu n’auras plus aucune emprise sur mes pensée…
J’en fait appel au illusion dérisoire de ce monde, à tout ceux qui ont cru bon d’empièter sur mon chemin… Personne n’y survivras.. ni même dans ce monde parallèle qu’est le mien.
* Tourbillons de vent qui entoure la dame des ombres, valsant autour de sa tête, rejetant les impurs. *
Non en fait aviale.. tu n’est plus.. ils ne sont plus…… Vous n’avez jamais été que de pure illusion de ma part…
Un jour peut être comprendras tu ce que tu vie de causer….
Ce que je vien de causer.. ou ce que tu aimerais que je crois… De nous deux dis moi, quel est l’âme la plus pervertie…
La tienne sans aucun doute ! puisque je ne suis rien comme tu me le rappele si fréquement.. Mais encore faudrait-il que tu ai une âme.. C’est vrai.. Il y a déjà si longtemps que tu ne ressent plus que la soif… Que cette passion ennivrante pour le..
ASSEZ !!!! Il en suffit maintenant ! Que tu sois ou pas, je trouverai le moyen de t’éloigner.. De te séparer de mon être.. Tu n’en seras que plus faible.. Et à la nuit tomber, illusion d’une fade réalitée, tu te seras évaporé ….
Moi…. bien sur.. Mais je ferai éternellement partie de toi.. Tu as oser arroser ton sale gosier de la pureté de mes veines.. Souffriras tu éternellement de ma présence pour ce geste… Ne comprend tu pas.. Lorsque tu nous soutire la vie, tu rejète en même temps notre âme.. Nos mémoires… À jamais mes souvenir te hanterons.. Tu devras subsister ainsi pour chaque corps mutilé, chaque âme retiré…
Evidement.. Mais ce n’est qu’une piètre punition face au plaisir qui ressort de cette action ! Tes paroles n’auront jamais l’effet escompter petit ange !! Hante moi tant que tu le souhaite, tu ne feras que me rappeler l’Extase et la douceur du nectar que je t’ai soutirer… Quel divine sensation que celle de ne plus avoir à subir ta présence corporelle…
* Un silence règne en maitre sur le monde obscure que recouvre le voile de la nuit. L’atmosphère s’allourdie au plus les ombres augmente. Souvenir d’un temps ou l’innocence étais la clée à tout les soucis imaginable..Ses souvenirs qui déclanche sur nous une vague de nostalgie… Sur certain, un dédains de l’humanité.. Sur d’autre un regain d’absurdité.. *
Ses frissons me parcours depuis trop longtemps.. Il y à déjà tant d’années que je ne saurais oublier.. Les futurs ne s’en annoncent que plus pénible.. La force, l’agilité.. Que diable cela vaut il face à une éternitée misérable… Toujours ce même regard ur le monde.. Ce depuis le début de ma mort.. Qui s’annoncent de plus en plus lente… Si un jour j’aurai droit à l’absolution… Mais il ne faut pas rêver.. Ce ne sont que des chimères.. Si frêle et pourtant si anéantissant..Je sais que tu pourrais mettre fin à mon calvaire d’un simple de tes rayons.. Mais ca ne serais pas être bon joueurs… Aviale.. Encore et toujours le même refrain, la même rengaine.. Quelque chose cependant demande attention… Si réelement je te crée de toute pièce… Non.. … cela ne pourrais….. c’est irréel…. Et.. pourtant ……
* De minutieuse torture de l’esprit, un vide d’énergie soudain, les plaies du monde viennent s’écraser sur la scène.. Hanah reste de glace, fixant le centre de ses pensée sur le visage d’Aviale… Heureux hasard que le fait de garder ses souvenirs.. Peu à peu se reforment les yeux profond, le visage avec cet air craintif, les lèvres mordu par ses dents perler…Même l’odeur de peur se fais ressentir.. La scène est parfaite.. Exactitude total d’un moment passer *
Et donc, c’est possible… Tu n’étais réelement qu’une chimère de plus..
Comment ose tu donc me ramener ici.. Je ne suis plus de ce monde.. Tu m’a anéantie il y a longtemps..Mais ne vois tu donc pas ce que tu fais !!! N’as tu pas encore compris !!!
J’ai compris…
* Un large sourire vint orner le visage macabre d’Hanah …. Ses yeux reprirent la teinte rougeatre qui les avais quitter il y a si longtemps.. Un hasard du sort.. peut être bien.. Le retour d’un destin. *