Tu te réveil, le souffle coupé par un cauchemare trop enivré. Ivre de désespoir, tu regardes le ciel noir qui te redonne toute ta méroire. La goutte de sang perlant tout le temps ma joue, ne demandait qu'un événement pour partir tabou, au vent. Il en recoulera une autre que pour toi. Je n'avais qu'une loi, maintenant deux s'offrent à moi. Mes émois, enroulés dans la soie, enchaînés par ton roi, on volés en éclat. Assez, j'en ai juste assez de compresser. Attendre, oui attendre, tellement longtemps que la douleur deviendra tendre. Et encore une fois, mon intuition ne m'a pas trahis. C'est dans le doute et sans raison que je l'ai fuit. Je ne vie qu'au soleil pour qu'à l'intérieur de moi ne fuit que la pluie. La corneille sur son perchoire me regarde passer sans un bruit. Maintenant, voilà que je m'enfouie en tout mes mépris.
Mélissa Mercier