Je n'ai trouvé aucun titre précis à ceci. Quand j'écris, je laisse sortir ce qui veut sortir. Ça donne souvent des trucs de liberté. Faut-il y voir un message ? Peut-être. En attendant, je vous le propose. En espérant que vous aimerez. Si vous avez envie de dire ce à quoi ça vous penser, les émotions qui vous vienne au coeur, faites le. J'adore les commentaires. : )
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On a cette folle impression d’être immortel. On a cette folle impression de profiter de la vie. On a l’impression de l’aimer. Qu’elle nous aime.
C’était une petite boîte…
Vivre est la chose la plus simple et la plus complexe. La Vie est un paradoxe. Moi aussi d’ailleurs. Si pareil, si différent. Trop différent. Je n’aime pas ça. Ça me fait peur à chaque fois.
C’était une petite boîte… affreusement petite.
J’ai l’impression d’être enfermé. Quatre murs. Ma vie. On ne sort pas. Aucune porte de sortie. Je suis obligé de briser les murs. Briser les constructions. Set Me Free.
C’était une petite boîte… affreusement petite. Trop petite.
Libérez moi de ces chaînes. Aidez moi. Je ne suis pas assez fort. Enfermé. Perdu. Essoufflé. Enchaîné. Cruellement vivant. Lost In Life.
C’était une petite boîte… affreusement petite. Trop petite. Sombre et triste. Terne.
Il n’y avait rien à faire. J’ai pleuré. J’ai laissé couler le fluide de La Fin. Parce qu’on l’apprend un jour ou l’autre. Tout ce qui a un début à une Fin. Inévitablement. Take Me Away. Parce qu’ici, c’est pas ma vie.
C’était une petite boîte… affreusement petite. Trop petite. Sombre et triste. Terne. Pourtant, on y voyait de la vie. Ce petit quelque chose d’indescriptible…
Rébellion. Différence. Action d’être différent. Anticonformisme. Je veux être différent. Tout de suite. Pourquoi se fondre dans la masse ? Pourquoi faire comme tout le monde ? Je veux… SORTIR.
C’était une petite boîte… affreusement petite. Trop petite. Sombre et triste. Terne. Pourtant, on y voyait de la vie. Ce petit quelque chose d’indescriptible… On le voit, on le sent, elle va se briser. Elle est trop petite. Elle souffre. Quelque chose veut en sortir…
J’écris ma souffrance sur les murs qui sont chaque jour le livre de mes douleurs. Je lis. Je relis. J’assimile. Je revis chaque instant, comme si le passé venait se mêler au présent. Je goutte la douleur passé, j’hume les souffrances futures. J’embrase mes pensées. J’observe les cendres. Elles sont noires. J’assomme les résidus d’hier. J’espère. Vivre là dedans, je ne veux pas. Laissez-moi sortir. Je frappe les murs. Je les perce. Lumière. Mon dieu. Qu’est ce que c’est ? L’opposé. Noirceur. Lumière. Nouveau. Différent. Je pleure. Pourquoi ? Je suis aveuglé. Je me retourne. Je vais quitter ce dans quoi j’ai toujours vécu. J’hésite. Pourquoi ? Peur. Différences. Fureur. J’en ai assez. Aucun doute. Je brise les murs. J’admire. Fichtre que c’est beau. C’est différent. Je m’élance. Libre. Et enfin. Je te cherche. Je me cherche. Là. Enfin. C’est fini. Je sors des normes. Je sors des standards. J’en avais assez. Je sors de ma vie ennuyante. Je vais rebâtir. Où je veux. Comme je veux. Parce que je le veux. De la manière que je veux. Avec toi. Sans toi. Peu importe. On m’a trahi. Je n’ai pas à le faire. Puissance invisible. Forces translucides. Je recommence tout. C’est le printemps. C’est beau. J’admire. Puis je me remets à vivre.
Ce que je n’avais pas fait depuis bien longtemps. Je n’étais pas libre de le faire. On m’empêchait d’être libre. Donc de vivre.