(Les ornithorynques aussi c'est joyeux... J'ai demandé à mon grand petit frère (ou à mon petit grand frère, comme vous voulez) de me donner un sujet pour écrire un poème. Il m'a dit ornithorynque. J'ai quand même essayer (tout de même, essayez de trouver une rime avec ça, vous allez voir, c'est compliqué!) et voici ce que ça l'a donné!)
Cher ornithorynque, oui, toi
Tu es la preuve vivante
Que les mélanges enchantent
Surtout ne change pas
Queue de castor, bec d’oiseau
N’es-tu point une chimère ?
Nous t’avons vu faire
Tu marches et vas dans l’eau
Longtemps nous avons cru
Que tu n’étais pas vrai
Maintenant nous avons vu
Que tu existes pour vrai
Cher ornithorynque, oui, toi
Tu es la preuve vivante
Que les mélanges enchantent
Surtout ne change pas
Puisque je sais que tu vis
Puisque je sais que tu vois
Puis-je te demander une seule fois
Dans ta vie, est-ce que tu t’ennuies ?
Si tu me réponds oui
J’argumenterai en ta faveur
Ta vie est simple, si
Comparé à nos durs labeurs
Cher ornithorynque, oui, toi
Tu es la preuve vivante
Que les mélanges enchantent
Surtout ne change pas
De toute ma vie, j’ai cru
Que je ne t’aimerais jamais
Mais je dois bien dire que j’ai vu
En toi la vraie valeur, c’est vrai
Cher ornithorynque, oui, toi
Tu es la preuve vivante
Que les mélanges enchantent
Surtout ne change pas