Dernier pour à soir, jvous laisse tranquille après celui-ci. (He non, je ne suis pas une bête de composition, j'ai juste une bonne banque!)
L’approche
Cette enfant farouche et brisée :
C'est un animal blessé.
On ne peut l'approcher
Qu'avec douceur et doigté.
Il ne faut pas la saisir trop rapidement
Elle s'enfuirait prestement!
C'est la peur qui la brime,
La peur qu'à nouveau on l'abîme.
Mais ce noble inconnu
Curieusement, a su
Comment défaire sa craintive protection
Que par instinct, sans raisons...
La sauvage s'est laissée approcher
Même si c'était risqué
Et contre toutes attentes,
Il voulut chasser ce qui la hante.
Une gentillesse impromptue,
Cette chance inattendue
La saisit d'un tel émoi...
Était-ce ce qui la sauva?
L'homme a chérit cette rescapée,
Fragile mais jamais sans volonté.
Il lui offrit un nouveau refuge. Un abri
Bien loin du malheur et des soucis
Pour essayer de refaire leurs vies.
« À toi, mon salvateur,
Qui, dans ces sombres heures,
Est venu m'apporter amour et bonheur:
Je t’offre mon cœur.»