Un beau matin, pendant qu’un forgeron forgeais mon épée et mon bouclier, un serviteur du roi Arthur me donna une lettre. Elle se lisait comme suit : « Mon cher Aranel, j’ai besoin de votre aide. Car de tout malheur quelqu’un ou quelque chose a ouvert le médaillon des dragons. Oui, des dragons rouges, noirs, de bronzes et argentés sont en liberté. Mais par chance on n’a toujours pas aperçu le seul et unique dragon d’or, sublime mais très dangereux. Parce que vous êtes le seul à avoir étudier la dracologie dans toutes mes armées, le conseil vous a remis cette tâche; d’aller fermer le médaillon des dragons. Une récompense vous sera remise. » Et c’est signer : «Roi Arthur » Je ne sais pas pourquoi mais je pris mon armure et mon épée réparés, donnai l’argent à mon forgeron pour son beau travail et filais à toute vitesse sur mon fidèle cheval noir, Satan.
Alors que j’entrais dans la Forêt Noir je remarquais un épais brouillard sur le sol. Plus j’avançais, plus le brouillard montait. Au moins dix secondes après, je n’apercevais plus la tête de mon fidèle destrier. C’est alors que je remarquais une légère odeur de fumée dans ce brouillard. Je lance mon cheval au galop, je savais que le dragon noir utilisait cette tactique pour camoufler ses oeufs. Plutôt efficace, mais je ne voulais pas faire la rencontre de maman ou papa dragon. Le brouillard se dissipa enfin, donc je ralentis le pas de Satan. Je voyais d’où j’étais le prochain village. Il n’était qu’a quelque kilomètre des œufs. Je décida soit par paresse ou par la faim qui me crevait l’estomac de continuer ma route. Je m’annonça aux portes du village. Une fois dans le village cela se distinguaient tout de suite aux maisons carbonisées et complètement détruites que les dragons noirs venait régulièrement. Je voyais les paysans épuiser sortirent de leurs maisons au toit noir brûler par le souffle des bouches de braises. Je les entendais chuchoter. Arriver devant l’auberge, je débarquais de mon cheval et tendant quelques pièces d’or je dis au palefrenier d’attacher Satan dans l’écurie et de le faire boire. J’entrais dans l’auberge quasi-déserte. Je me commanda un repas à L’aubergiste. Pendant mon repas deux hommes discutaient d’une attaque de dragons rouges. Je payai mon repas, me rendit à l’écurie, sella mon destrier et continua ma route. À quelque kilomètre dans une intersection on voyait une ville avec des rempares beaucoup moins imposant qu’a la ville précédente. Mais mon chemin me conduisait à l’opposer de cette seigneurie. Après cinq heures de gros galop on s’arrêta sou un sapin imposant. Il commençait à pleuvoir en plus donc je n’avais pas le choix. J’écoutais le doux ruissellement sur les branches des arbres. Je m’endormis bercé par cette douce mélodie.
A mon réveil je me trouvais dans un lit et la nuit était tombée. Je regarda par la fenêtre, j’étais dans un village elf. En fait, je n’avais jamais mit les pieds dans un tel village. La nuit cet endroit brille de mille feux. Je sortis de la chambre ou l’on m’avait accueillis. Deux elfes se leva d’une petite table qui se situais au milieu de la pièce circulaire. Les elfes sont plus grand que les humains, ont des oreilles fines et pointues mais sont aussi gentils que la race humaine sinon plus. J’erras trois jours dans ce village radieux. Je reprit le chemin sur Satan, bien que je sois rester plus longtemps si j’avais pu. J’allais entrer dans le bois des esprits quand un cri suraigu me silla aux oreilles. Je regarda au ciel et m’aperçu que s’étais le faucon du roi. Il vint atterrir sur le pommeau de ma selle. Je prit la lettre qu’il tenait à son bec: « Aranel,
Des dragons attaquent Camelot. Fermer ce médaillon au plus vite. »Et c’était signer : «Arthur» Il fallait que je fasse vite. Je lance mon cheval au galop. J’arrivais devant la chaîne de montagnes lugubres et terrifiantes. Sur un gros rocher il était marquer : «//** ()"//»ce qui voulaient signifier UN SEUL RÉUSSIRAS. Du bout de mon poignard j’écrivit : « "/»ce qui voulait dire MOI. Le rocher roula sur lui-même pour laisser la place a un tunnel. Je descendis de cheval pour entrer dans le tunnel. Le tunnel était à peine assez haut pour lui. On s’enfonça plus loin dans ce long couloir, Il fit si noir que je décida d’allumer une chandelle. Alors la couleur rougeâtre du vieux sang apparu sur ses parois. Je me dis que si j’allais jusqu’au bout c’est réellement moi qui devais passer. Plus j’avançais plus mon pouls augmentait dans sa cadence. Une brise glaciale me fis avoir une gigantesque sueure froide. Lentement a l’autre extrémité on voyait apparaître la lumière du jour. Je n’aurais pas voulu me plaindre mais j’avais hâte de sortir de se trou a rat.
Deux jours passèrent avant que j’aperçoive des rempares. Quand j’entra dans le village tout le monde courait en tout sens ! Je tourna le coin et j’aperçut un dragon vert en train de dévorer un paysan. J’attrapa mon arc court qui se trouvait après ma selle et une flèche puis siffla le dragon. Dès qu’il commença à se retourné, je décocha ma flèche. Ce monstre nus même pas le temps de penser qu’il reçut le projectile dans L’œil droit. Il s’Écrasa durement contre le sol. Tous les villageois se mirent à m’aduler. Je me fit un collier de ses dents et garda sa tête comme trophée. Puis je quitta ce village. Ces paysan aillait pouvoir dormir sur leurs deux oreilles ce soir. Dans la clairière avant la forêt mortelle je retira mon armure. Il faisait trop chaud. Rendu au milieu de la forêt, trois pigmés sauta sur moi. Satan partit à la course. Un me labouras le dos de ses griffes, tendit que l’autre me déchiras la poitrine puis le dernier me fit une marque qui passa à travers mon sourcil droit, descendit sur ma paupière droite et s’arrêta au début de ma joue droite. Je me dis intérieurement : « Pourquoi ais-je enlever mon armure dans ce pré avant la forêt ? »Je crias et me débats. Le premier fit un vol plané devant Satan et reçu son sabot en pleine poitrine. Le deuxième eu un poignard dans la tête ce qui lui fit lâcher prise. Puis le troisième se fit casser le bras et par la suite le cou. Satan sauta par-dessus une branche énorme puis ralentit le pas. Oufffffffffff!!!!! Je respiras par le nez et prit connaissance de mes blessures. Je regardas dans mes sacoches de selles et découvrit un fond d’un liquide rougeâtre dans un petit flacon. Il s’agissait d’une potion des dieux une sorte d’analgésique qui enlève la douleur mais pas les marques corporelles. Saleté de bestioles! Je les hais! Je remit mon armure tout en me rappelant une scène de mon passé. Une fois il y a bien longtemps, des pigmés ont tué mon compagnon d’armes, son cheval puis on fait flamber son chien et sa demeure. Quand je suis venu lui rendre visite, ils m’ont sauté dessus ! D’un coup d’épée je leurs tranchas la tête. Puis durant la journée je rencontra le roi et sa fille. Marie-Jeanne, elle est si belle. Mais il faut être un prince pour épouser une princesse. Moi je ne suis qu’un simple chevalier donc vaut mieux oublier ça tout de suite. Je remis donc mon armure avant de continuer ma route dans le chemin sillonné. Le chemin se rapetissait littéralement sous mes yeux en avançant dans celui-ci. Je sortis donc ma machette afin de couper les branches qui me revolaient à la figure. Alors que je coupais une branche un gigantesque serpent apparu devant mon cheval qui s’excita rapidement à la vue de cet énorme reptile qui zigzaguait sur le chemin. Il essayait de mordre mon cheval qui tournoyait pour éviter ses coups. J e faisait du mieux que je pouvais, en élançant ma machette sur l’animal, pour nous débarrasser de lui. Pas facile de viser correctement quand ton cheval bouge tout le temps. Mais alors que le serpent s’étendit pour atteindre Satan au cou, je lui trancha la tête en un gros « Clock »sonore. Le corps de L’animal inerte sur le sol se vidais de son sang par quelques spasmes post-mortem. Mon cheval contourna le corps puis on continua notre route. Un peu après cette mésaventure, se dévoila devant nous l’entré d’une grotte. Deux formes noires et immobiles gardaient cette grotte avec des épées qui flottait dans l’air avec une légère aura bleuté autour de celle-ci. Quand j’approcha un peu plus, les deux épées, dans un geste vif et très synchronisé, se mirent en position d’attaque. Je compris alors que je n’étais pas le bienvenu en ses lieux. Alors que je m’apprêtais à approché d’avantage un hippogriffe perça le ciel mais je n’eus pas le temps de réagir qu’il m’emporta dans le ciel avec Satan. Je lui coupas donc un doigt avec ma machette. Il nous relâcha en atterrissant lui aussi pour s’attaquer à une licorne. Elle fut blesser et s’écroula au sol. L’hippogriffe s’apprêtait à l’achever quand je lui lança ma machette dans le cou. Il cria d’un cri strident puis s’écrasa lourdement au sol. La licorne se releva puis se frotta sur moi. De se simple geste, provint au fond de moi un désire de vaincre et une force incroyable. Je me retourna vers Satan qui était énormément blesser. Je dégaina mon épée et l’acheva car il n’aurait point survit de ses blessures. Des larmes coulaient sur mes joues. Je retourna alors à la grotte et les gardes me laissèrent passer sans broncher. Je trouvais cela plutôt étrange mais ne m’en occupais pas plus que cela. À l’intérieur il faisait sombre donc je m’alluma une torche afin de me glisser dans l’obscurité. Un courent glacial glissait le long de ma colonne. Le couloir était étroit et plutôt bas de plafond. Il tournait à gauche et à droite comme un serpent sillonnant sans fin vers un but inconnu et infini. Il marchait et marchait depuis au moins deux heures à un rythme régulier et rapide. Une porte exposa devant lui à la pénombre de sa torche. Il poussa les deux grandes portes d’or afin de découvrir une grande pièce parsemée de stalagmites et stalactites. Tout d’or, avec au centre un monticule parcouru de pierres précieuses. Cette éminence était entourée de pointes en diamants. Sur les murs tout autour de la pièce semblait être gravé une statue d’or qui représentait un dragon. Une pure merveille de l’architecture. Je m’approcha du monticule dans lequel pendait un grand médaillon de rubis au centre d’émeraude. Je tendit la main afin de l’attraper…En un geste vif je l’attrapa et regardais attentivement le centre dans lequel je vis mon reflet et derrière celui-ci un dragon doré tenait sa gueule béante. Alors je sentit un courant chaud dans mon cou, je me retourna, il n’y avait rien mais je remarqua que la statue avait quelque détail que je n’aie pas remarqué plutôt alors je m’approcha de sa tête en fixant la pupille verticale…la statue cligna des yeux! « Et merde!!! » écriais-je. Puis le dragon dans un geste vif m’écrasa de sa patte griffue. «-Pourquoi me volez-vous mon portail…humain?
-Pour seulement le fermer…dis-je terrifier…Il fait présentement plein de mort…Je vous supplie de cesser tout cela. C’est un vrai massacre!
-Les dragons rétablissent l’ordre, seulement cela. Ils sont contraints de ne rien détruire…dit-il surpris
-Ils sont en train de tout détruire absolument tout…
-Alors…puisqu’il mon trahi …je vous fais confiance mais n’en abuser pas sinon …je vous tuerai sur-le-champ…compris?
-ayez ma parole que mon intention est loin de celle-ci… »Le dragon me délogea de son emprise.
Nous partîmes ensemble à la poursuite de tous les dragons responsables de toute cette agitation afin de les renvoyer dans l’autre dimension. J’épousa Marie-Jeanne et eu plusieurs enfants. Je l’aima tendrement et eu une vie remplis d’autres aventures avec mon ami le dragon. Mais cela, c’est une autre histoire…