Un autre vieux poème, probablement plein de fautes et avec des tournures un peu bizare, mais j'aime bien le laissé intact, comme je l'avais fait au début ( Pas pour les fautes, les fautes je les voit juste pas et j'ai pas super le temps de les corriger;)).
Et pourtant...
L’oiseau vol au gré des vents,
Il ne sait pourquoi, mais il s’enfuit
Là devant, ignorant ce qui le conduit
Sans arrêt il continue pourtant…
Il avance, là-bas, devant
Comme si la terre entière s’ouvrait a lui
Sur des territoires qui semblent infinis
Mais cela ne semble pas lui convenir pourtant…
Le voyage s’empire continuellement
Car sous lui, tout parait de plus en plus défraîchi,
Mort, amorphe et sans vie
Mais l’oiseau continue pourtant…
Car tout cela n’est pas important
Sans le savoir, inconsciemment
Ce qui le soutient, au plus profond de lui
C’est l’espoir, qui à chaque instant le conduit.