Folie extrême s'empare de ma lucidité. Translucide dans toutes bonnes capacités et décapitée, découpant chaque veines en les broyants, dans une part de ma limpidité. Début malsain ahuri de hurlements. Toute la chair auréolant en des filaments vifs, éclabousse son liquide visqueux dans les airs. Acide mon cœur, basique ailleurs. Aromatisant la pièce de son parfum aigre. Exaltant son odeur contredisent l’amer et le salin. C’est vinaigre dans ma tête,obliquant vers la pensée chagrin. Erailler ma conscience incompréhensible. Transplanter ma science dans l’invisible. Le parallèle des choses somnole dans le côté qui querelle mes appels en une dose obstruée, trop lourde. Piéger enfin ! Saugrenue ma vision. Griffer ma lésion corrompue. Meurtrie et achevée, sans plus un sens à mon absence. Voici ma révérence, recommencement des hurlements…
Mélissa Mercier
(je ne tiens pas à ce qu'on retouche ce texte s'il vous plait)