... Bon, c'est un écrit tout récent d'hier soir. Le seul que, à sa relecture j'ai pleuré. Il me fait vraiment quelque chose, il représente un sentiment pas encore tout découvert. Il heurte mes émois pour vrai et il est destiné à qui sait bien que je porte dans mon coeur. Par simple connaissance ou bien plus proche.
On m'a interpelée, condamnée ou bien priée. J'ai remarquée ces liens barbelés de fer qui contorsionnent mon coeur. Pourtant, ailleurs, dans les contrées voisines, ils sont fleuris de couleurs vivent. Quand le métal fait place, c'est les taches sombres qui apparaîssent. Le métal, j'en fait mon nom. Je semme la détresse à l'admiration emprisonnée. Étrangers connus, une complice dissipée en moi. Elle se reconnaîtra ou bien, passera à côté. Parallèlement à qui je suis, d'où je suis, à côté...
Je ne t'ai jamais nommé, ni même écrit d'ailleurs. Amitié, toi que j'ai oubliée, laissé derrière moi, dans mon passé. Tu me fais mal tu sais, tu me consumes en m'approchant. Pour autant que je sache, j'ai tant besoin de toi.
Je vous aimes sans peut-être le montrer
Je vous aimes en souffrance cachée
Je vous aimes à me détruire
Je survie entre vos alies blanches qui pourtant, entourent mes ailes noires.
Mélissa Mercier....
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