Un coeur achevé dans cet univer sombre, les yeux d'un ange pour la terre qui se meurt. Mais au fond si les ailes noir de mon âmes se déployent, peut-être que le ciel s'ouvrira. Le déchirment dans l'apel de l'enfer n'est que complainte du ciel, après tout. Mais trève dans l'au delà, car une âme ne peut être perdue. Toujours encrée dans la croyance, seul le long tunel aporte la vérité, mais toujours la souffrance. Car si une âme se détache, elle reste pour observer, et la douleure restera sienne pour l'éternitée. Alors qui comprendra ce qu'une parole vaux, dans l'ébène de mes yeux? Quel masque de satin couvrira l'ignorance éternelle qui berce vos pleurs? Vos pleurs, mais surtouts vos rires. LE deuil sera une délivrance, le chagrin de la honte d'être ce que j'était: MOrtelle. Seulement vous ne le savez pas, non vous craignez le courage. Cet ombre qui déchirera vos corp, et à la fin vous hurlerez vos tord.
Qui viendra sur ma tombe pour pleurer, la cruelle véritée? Vos yeux ne voient que ce qui est vrai, la véritée unique de votre esprit domptée. MAis la réelle, celle des univers imaginaires, ne sont que parodis pours votre peine, qui sera a jamais la mienne.