Que dire de plus...

Sur un drap blanc teinté de souffrance, l'illusion du sang se répercute parmi les voies du désert. Alor que la chaleure consume les entrailles de l'éternelle avenir, seul l'au-delà saurait avancer la parole d'un espoir. Pour seul récompense, l'illusion, la création tire sa révérence dans l'oubli. Ainsi il s'humilli, piètre révérence devant tant de puissance. Que nos corp se consument, disent-il en silence, car l'âme n'est qu'une idée du repos, un silence soufflé au dessu des étoiles.

Dans un ultime hurlement, l'affront n'est qu'un cauchemard relié a cet instant d'effroyable réalitée. Que ferez-vous, lorsque les nuages s'éteindrons dans les flâmes de votre paradis? Qu ferez-vous, lorsque toute passion sera détruite en cet unique instant de salut?

PLeurez, criez, riez, le sol se dérobe en une longue descente aux cieux...Chantez les louanges de votre propre mortalitée, car elle mettra fin à l'humanitée

Waaouuu c'est réfléchie ton poème 2 fois Bravo Gab