Il y a longtemps, peut-être trop même. Trop extravagant. Jamais assez. Rédiger un souci, une crainte, la vie même, qui sait le pourquoi? Hululé à l'oiseau qui s'envole, des âneries passagères, la vérité libérée. C'est-il parler l'oiseau?... Réponse connue. Liberté conservée. Une dérive morbide m'entoure. J'ai oublié mon nom... Celui d'autrefois. À la différence trop immense... vous ne la remarquée pas? Suis- je bête...
invisible. Miniaturisé l'envie trop grande. Pourtant elle bouillonne, une combustion délirante. Les plus magnifiques encore, celles qui révèlent tout, ne trouveront jamais repos sur d'autres regards. Elles ne se livreront qu'à mes influx, ces paroles pensives. J'empile, j'accumule, je détourne. Ha que c'est déroutant de s'y retrouver. Des messages incompris encore une fois, un trophé de vie rajouté aux centaines du passé. La comprenez-vous la logique, l'unique sens? Elle est si introuvable qu'on s'y perd à sa découverte. Beaucoup la répulse (repousse). Trop même. La voilà identifiée, c'est l'impuissance que je ressens. Le pur et simple sentiment de savoir que l'imbécilité humaine restera sans comprendre. Ho, il y en a, pardonnez l'attaque, qui comprennent parfaitement, mais, trop infime, se résoud à l'abandon du solitaire. Très capricieux pour autant de trouver qui à découvert à son tour le récit d'une sagesse indéterminée.
Mélissa M.