[Commentaires: Nostalgie d'un coeur brisé ? Peut-être. Tout ce qui est dit là-dedans est vrai. Rien de fictif. Enfin... J'espère que vous apprécierez. Parce que ça vient du fond du coeur.]
Parce que tu n’es plus que des rêves,
Éphémères, pâles, lointains. Gris même. Embrumés, effacés.
Il ne reste rien, De ce passé si près et si loin, Qu’on a tous espéré.
Il ne reste rien, De ces caresses trop douces, Qu’on a tous rêvées.
Pourtant, Il reste encore le tient, Ton visage. J’ai peine à y voir encore les traits, Mais tu es toujours là, Dans mes rêves.
Je n’arrive toujours pas à pardonner cette infortune, Qui m’a transformé en Lune, Solitaire, Grise, Pâle, Qui assume tous ses costumes.
Plus que des rêves, Il me reste. Ils s’éloignent, Ils me fuient. Ce n’est plus que des baisers trop pâles, Des caresses presque imaginaires, Des regards sourds, Des murmures chaleureusement froids. Plus que des rêves. Rien que des rêves.
Flirt de 2 jours, Ou meurtre de 2 âmes sensibles ? Le flegme de la fleur n’est plus le même, Sans Roi sans Reine, Sans Toi sans Moi. Chaque fois, Cela me fait froid dans le dos. Car ce n’est plus que Des Rêves. Parce que tu n’es plus que des rêves. Oublions les trêves, Oublions la neige. Car même sourd, le muet voit.
C’était le plus noir, De tous les soirs. Il était tard, Et je t’aimais. L’ennemi nous a surpris, On est tombé dans le puits. Tellement sûre, Tellement dur, D’y croire, De voir. Quelqu’un a lu la fin de L’Histoire avant le début. C’était fini, sans avoir commencé. Prince Charmant, Princesse au bois dormant. C’était la fin.
Tiens, prends ma main. Si je tombe, Retiens-moi.
Mais aujourd’hui, Tu n’es plus que Des Rêves. Éphémères, pâles, lointains. Gris même. Embrumés, effacés.
Plus que Des Rêves. Sans neige et sans trêve.